Au péril de ma vie, restez prudent"
La mortalité liée au cancer ne cesse de diminuer depuis trente ans.
De fait le budget de la Sécurité sociale, environ 144 milliards d’euros pour la maladie (14 milliards pour le cancer) échappe en partie à la Bourse. Pour récupérer cette manne financière, il faut casser le système et poursuivre sa privatisation.
Nicole Delépine dénonce le basculement de notre système de santé, montre comment la convergence des intérêts politiques au service des marchés financiers, des lobbys médicaux et de l'industrie pharmaceutique a conduit à une OPA sur le marché du cancer. Elle appelle à une prise de conscience des enjeux et des mécanismes de la destruction de la médecine française, interpelle les politiques, attire leur attention contre
l’occultation des conflits d’intérêt. Elle revendique la dignité de soigner.
L’auteur
Fille de l’un des fondateurs de la Sécurité sociale, Nicole Delépine est responsable de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital universitaire Raymond Poincaré à Garches (APHP). Thérapeute engagée, elle défend en cancérologie pédiatrique une médecine de pointe, humaine et individualisée. Elle a publié aux mêmes éditions Neuf petits lits au fond du couloir (Michalon, 2000), Ma liberté de soigner (Michalon, 2006), La face cachée des médicaments (Michalon, 2011).
www.nicoledelepine.fr
Pour joindre Nicole Delépine / nicole.delepine@bbox.fr
Mireille Rosselet-Capt est licenciée en psychologie, licenciée en lettres, psychologue, enseignante et thérapeute en Fleurs de Bach
Vieux comme le monde et existant parmi nos mécanismes adaptatifs les plus efficaces, l'effet placebo, présent chez l'Homme comme
chez l'animal, favorise la survie. Il est intimement lié au processus de guérison, et diverses études lui attribuent une part de 30% dans les succès thérapeutiques ! Or, si les médecines
traditionnelles du monde et les thérapies complémentaires ne sont pas dérangées par cet état de fait, notre modèle biomédical occidental, caractérisé par un dualisme corps - esprit de plus en
plus handicapant, le rejette avec virulence.
Et pourtant, l'effet placebo existe, et ses bienfaits sont bien réels. Un placebo ne remplacera jamais une médication adaptée,
mais il y a une place pour un usage intégré du placebo dans le paysage des soins.
La "placebogénèse" s'apprend ; elle repose avant tout sur une relation thérapeutique de qualité.
L'effet placebo suscite donc beaucoup d'espoirs, mais aussi beaucoup d'interrogations : y a-t-il des personnalités plus sujettes
à l'effet placebo ? Est-ce un phénomène de suggestion ? du charlatanisme ? Comment fonctionne l'effet placebo ? Peut-on le favoriser ? Toutes ces questions, et bien plus encore, sont au programme
de ce petit livre, dont se dégage un point commun : l'effet placebo pointe vers un nécessaire renouvellement de la relation de soin.
Patrick Le Berre: Ingénieur, physicien, métaphysicien, Passeur d’âme® vers les états de sagesse. Accompagnant dans la relation d’aide pour les personnes dans la difficulté, la douleur et le mal-être. Initiateur du projet de civilisation Objectif bien-être®. Auteur de trois ouvrages.
La physique de charge d’espace permet de décrire les processus de piégeage de quantas d’énergie dans les isolants et ouvre une nouvelle voie de compréhension du vivant. Elle fait le lien entre science et conscience et permet l’expression de l’amour.
L’invisible structure et anime le visible par une loi de cause à effet : par exemple, l’eau s’organise en structure vivante et devient un véritable émetteur-récepteur de quantas d’information, le motif fractal de base du vivant, la frontière entre monde quantique et monde matériel. Le Créateur et l’âme invisibles se relient par le souffle de l’esprit au cœur de l’homme créature, pour vivre une expérience humaine : la spiritualité.
On peut ainsi traverser la crise et la dépression actuelles pour aller vers l’épanouissement au quotidien, un partage compassionnel et l’émergence des sociétés de sagesse de demain.
Saviez-vous que l’arthrose peut être liéeà une trop grande perméabilité de la paroi intestinale ?
Notre intestin n’est pas un organe anodin. Il est responsable de la plupart de nos soucis de santé. Des études récentes montrent son rôle déterminant dans l’apparition de nombreux troubles a priori très éloignés des problèmes intestinaux : migraines, surpoids, stress, déprime, anxiété, insomnie, problèmes cutanés, problèmes de la sphère ORL, problèmes pulmonaires, infections diverses.
Les moyens de rééquilibrer l’intestin sont pourtant à la portée de tous : changer son alimentation, choisir les cuissons adéquates, privilégier les aliments protecteurs, utiliser des micro-nutriments adaptés et spécifiques, mieux gérer le stress. Autant de principes de base pour prendre soin de notre intestin afin de recouvrer une bonne santé sans recourir obligatoirement aux traitements médicamenteux.
Les plus : 5 questionnaires santé très complets pour faire votre bilan personnel et repérer les signes avant-coureurs des maladies.
Des consultations de référence pour divers troubles suivies de solutions concrètes.
LES AUTEURS : Dr Louis BERTHELOT est angiologue de formation, médecin acupuncteur, spécialisé en médecine chinoise et en micro-nutrition.
Dr Jacqueline WARNET est hépato-gastroentérologue et spécialisée en micro-nutrition.
DANS LA MÊME COLLECTION
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Assistante :Jennifer Gaucher 01 42 79 19 13. Courriel : jennifer.gaucher@albin-michel.frÉditions Albin Michel – 22, rue Huyghens - 75014 Paris - Tél. : 0142 79 10 00
JACK SWIFT 2012, LES JOURS D'AVANT
Face aux cataclysmes d’origine terrestre ou humaine de plus en plus inquiétants, chacun peut imaginer que le a déjà frappé. Et si certains profitaient du chaos pour leur propre bénéfice, au risque d’anéantir une partie de l’humanité ?
À Washington DC, des officiers supérieurs choisissent justement cette période mouvementée pour renverser le gouvernementet prendre le contrôle de la population. Il leur suffit pour cela de mettre en oeuvre le Patriot Act voté en 2001 et renforcé en 2003. À Rome, les cardinaux s’inquiètent surtout de l’apparition d’hommes et de femmes aux pouvoirs étranges. Craignant queces derniers nuisent au retour du Messie attendu par les chrétiens, ils ont décidé de les éliminer. Liés par une vieille entente, généraux et cardinaux pensent avant tout à leur survie commune. Et cela quels que soient les obstacles. Qu’il s’agisse d’un agent fédéral, dont le meilleur ami est un enquêteur du Vatican, ou bien de la journaliste la plus célèbre desÉtats-Unis.
Avocat spécialisé dans les crimes commis par l’armée américaine sur son propre territoire, Jack Swift a passé une partie de sa vie au Pentagone. Il est aujourd’hui consultant pour une société privée étroitement liée à la Maison Blanche.
Chaque année, au mois d’octobre, notre environnement se pare de rose et de placards innombrables appelant à partir en croisade contre le
cancer du sein grâce à la mammographie. Pourquoi une telle volonté des responsables de santé publique, des médecins, des associations ou des laboratoires? Les femmes sont-elles réellement bien
informées des risques qu’elles encourent en se soumettant à un tel dépistage? Et les bénéfices qu’on leur fait miroiter existent-ils vraiment?
Révoltée par l’obstination des gynécologues à lui imposer la mammographie, Rachel Campergue a mené sa propre enquête. Ce qu’elle
découvre est effarant. Infantilisant les femmes, les pouvoirs publics promeuvent la confusion entre prévention et dépistage. Les médecins ne disposent pas des connaissances adéquates garantissant
que les consentements qu’ils arrachent à leurs patientes sont effectivement «informés». Quant aux associations, elles sont les agents d’un business juteux qui profite avant tout aux fabricants de
biens de santé. La conclusion de ce travail foisonnant, précis et non dénué d’humour, est sans appel : une mammographie n’équivaut pas à une vie sauvée, et, si vous choisissez d’en passer une
tous les deux ans, faites-le en toute connaissance de cause.
Rachel Campergue a exercé durant 14 ans comme kinésithérapeute avant de consacrer 10 ans de sa vie à filmer les requins sur
l’atoll de Rangiroa.
Médecin fondateur du Registre vaudois des tumeurs à Lausanne et membre du Formindep, le Dr Bernard Junod a été, jusqu’en 2009,
enseignant-chercheur à l’École des hautes études en santé publique à Rennes.
Pourquoi tous ces enfants étiquetés "THADA" (Troubles d'Hyperactivité Avec Déficit d'Attention)? II y en a maintenant 9 millions aux USA, et 12 millions
en tout dans le monde.
C'est un chiffre énorme. Cela représente beaucoup de souffrance, et aussi évidemment un très gros enjeu financier. Ces enfants
ne sont ni méchants, ni désagréables, ni " mal élevés ".Ils souffrent et expriment leur souffrance par leur comportement dérangeant pour les familles, les instituteurs et la société en général.
Qui sont ces 12 millions d'enfants ? Leurs troubles du comportement sont-ils vraiment attribuables à une seule et unique cause ? Quel est le profil psychologique de ces enfants ? Le traitement
médicamenteux est-il la bonne solution ? La Ritaline(r) et les médicaments analogues sont-ils aussi exempts de risques que le disent la plupart des médecins ? Il est intéressant de réfléchir aux
changements qui se sont produits dans nos sociétés, surtout depuis les années 1970, dans les pays riches. Quel est le rôle de la permissivité accrue au niveau de l'éducation depuis Mai 68 ?
Est-ce que la multiplication des vaccins (contenant pratiquement tous du mercure ou de l'aluminium), des postes de télévision, des téléphones portables (DECT ou GSM), des ultrasons pendant la
grossesse, a pu jouer un rôle dans le comportement des enfants ? Quelles sont les conséquences de la surmédicalisation de la naissance? Quel rôle attribuer au fait que le taux de phosphates dans
la nourriture industrielle a augmenté de 300% en quelques années ? Les enfants actuels sont-ils plus sensibles aux éléments physiques pouvant perturber leur comportement ? Dans cet ouvrage,
l'auteur contribue à fournir des éléments de réponses à toutes ces questions
Un livre-témoignage où l’auteur dévoile comment il est devenu magnétiseur, décrit sa pratique, expose ses échecs et ses réussites.
Un plaidoyer pour une entente entre la médecine officielle et la médecine non conventionnelle
La campagne de communication sur la grippe H1N1 au printemps 2009, incite Claire Séverac à enquêter sur la santé publique.
Des interviews réalisées auprès des acteurs impliqués aux nombreux ouvrages et articles scientifiques compulsés, elle met à jour la maille du nouvel ordre mondial, en nous exposant l’existence de groupes de pression et de pouvoir, en mesure de faire appliquer leurs décisions par les institutions qu’ils contrôlent.
Chimie, biotechnologie, agro-alimentaire et médico-pharmaceutique, autant de cartels mondiaux dont elle dresse les portraits et pratiques, pour nous faire prendre conscience de l’existence d’un complot mondial contre la santé.
Course au profit ou génocide voulu pour réguler la population mondiale, une élite issue de ces consortiums, s’accorde dans notre dos pour prendre des mesures néfastes au genre humain.
Pour verrouiller le système, ils ont mis en place des instances internationales qui imposent leurs lois à l’échelle mondiale et leur confèrent le droit et la légitimité. Ces transnationales, par leur pouvoir financier, forment un gouvernement apatride et mondial, bien plus puissant que celui des États, et font de nos gouvernants leurs obligés dont ils actionnent les ficelles pour servir leurs intérêts.
Ils ont détruit l’ordre de la Nature, qui pourvoyait à la plupart de nos besoins, pour instaurer à la place un monde où tout leur appartiendrait, confisquant notre patrimoine que sont la terre, l’eau, les animaux, les plantes, pour s’assurer un monopole à leur seul profit.
A l’instar de Georges Bernanos, « Je pense depuis longtemps que si un jour les méthodes de destruction de plus en plus efficaces finissent par rayer notre espèce de la planète, ce ne sera pas la cruauté qui sera la cause de notre extinction, et moins encore, bien entendu, l’indignation qu’éveille la cruauté, ni même les représailles et la vengeance qu’elle s’attire, mais la docilité, l’absence de responsabilité de l’homme moderne, son acceptation vile et servile du moindre décret public. Les horreurs auxquelles nous avons assisté, les horreurs encore plus abominables auxquelles nous allons maintenant assister, ne signalent pas que les rebelles, les insubordonnés, les réfractaires sont de plus en plus nombreux dans le monde, mais plutôt qu’il y a de plus en plus d’hommes obéissants et dociles. »
Le changement ne peut venir que de nous, de notre capacité à prendre du recul et à se poser les bonnes questions, de notre intérêt pour la vérité et de notre amour pour nos enfants, si ce n’est pour l’Humanité et la Nature, notre mère à tous.
Quand l’aluminium nous empoisonne
Virginie Belle
Quel est le point commun entre l’eau du robinet, le fromage, les biscuits, les crèmes nourrissantes, le fond de teint, le rouge à lèvres, les déodorants, le lait en poudre, les vaccins, les oeufs ? Tous ces produits contiennent de l’aluminium. Une substance nocive, révèle cette enquête exclusive et exhaustive. Quel est le point commun entre Alzheimer, Parkinson, l’épilepsie, l’anémie, la fatigue chronique, le diabète, la myofasciite à macrophages, l’asthme ? Toutes ces maladies mettent en cause de trop fortes doses d’aluminium. Or ces doses sont sous-estimées par les autorités sanitaires.
Que dire des vaccins obligatoires (diphtérie, tétanos, poliomyélite) imposés aux enfants dont la totalité concentre jusqu’à 8 mg d’aluminium alors que le seuil critique s’établit à 1,5 mg par dose ?
Que penser du « syndrome de la guerre du Golfe », dont souffrent plus de 175 000 soldats, qui ne serait pas dû aux gaz eux-mêmes, mais aux batteries de vaccins préventifs que ces hommes ont subis ?
L’auteur a rencontré des témoins qui pour la première fois brisent la loi du silence. Cette enquête s’appuie aussi sur les conclusions récentes des plus grands spécialistes de la santé : le Comité consultatif mondial de l’OMS, les recherches de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, du Comité supérieur d’hygiène publique de France, de la Direction générale de la santé, et de nombreuses études scientifiques internationales.
Virginie Belle est journaliste. Elle a notamment travaillé au Parisien et à France-Soir
L’auteur
l’occultation des conflits d’intérêt. Elle revendique la dignité de soigner.