L'Atelier de la mémoire de Sylvie Simon  (1927/2013)

L'Atelier de la mémoire de Sylvie Simon (1927/2013)

Révéler la désinformation et les mensonges en matière de santé et d'environnement et éveiller les consciences


Témoignages et décès de Victimes suite aux vaccins Gardasil Cervarix et autres

 
 
livre 10Cette rubrique sera consacrée aux témoignages de victimes de la vaccination et des thérapies iatrogéniques.
Si vous avez été une de ces victimes, ou quelqu'un de votre entourage, vous pouvez nous envoyer votre histoire.
Les témoignages doivent être les plus lapidaires possibles mais argumentés. Ceux qui ont été attestés dans des revues ou des journaux peuvent également être mis en ligne avec le lien correspondant.
Vous pouvez accepter ou refuser que votre nom soit cité. Si vous refusez, seules vos initiales seront inscrites. Si vous acceptez vous devrez également donner votre autorisation de mise en ligne à la fin de votre témoignage (elle ne sera pas mentionnée dans l'article).  
Pour éviter les abus ou un pseudo-témoignage le mail devra être nominatatif avec une adresse valide, sans quoi le témoignage ne sera pas diffusé.
En cas de procédure en cours aucun élément du dossier ne doit y figurer ni les noms des intéressés.
 
Merci pour votre compréhension.
  
  
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 Epilepsie après un vaccin contre la varicelle
 Initiative citoyenne nous informe d'un nouvel accident vaccinal
Notre petit garçon de 13 mois était en parfaite santé et se développait normalement; il marchait déjà à son premier anniversaire.
A partir du moment où il a dû se faire vacciner contre la rougeole, il est devenu malade.
Quand je me suis rendue chez la pédiatre, cette dernière m’a annoncé qu’il y avait une épidémie de varicelle dans le quartier et qu’il vaudrait mieux administrer le vaccin (contre la varicelle) et un mois plus tard le vaccin ROR (Rougeole, Rubéole, Oreillons). 
Mon mari et moi sommes des scientifiques. Mon mari travaille même dans le secteur biopharmaceutique.
Luca a donc reçu son vaccin contre la varicelle. Trois semaines plus tard (je m’en souviens parfaitement) Luca a commencé à avoir des spasmes. A chaque crise, ses bras, ses jambes et son visage se contorsionnaient, mais il restait conscient.
Comme il continuait à faire des crises, nous l’avons conduit aux urgences de l’hôpital universitaire de Bruxelles.
Luca a immédiatement été examiné ; on lui a fait une prise de sang, un examen de l’œil et un électroencéphalogramme. Le diagnostic est tombé rapidement : « épilepsie ». Luca a été immédiatement mis sous Keppra (médicament antiépileptique) Ils l’ont gardé à l’hôpital pendant une semaine.
Quand nous avons quitté l’hôpital le vendredi, Luca faisait toujours des crises, mais elles étaient moins graves et plus espacées.
Comme les crises continuaient à se produire tous les jours, nous avons à nouveau dû consulter le 14 juillet. En plus du Keppra, on prescrivit de la Depakine 3X12 gouttes.
Le 4 août Luca, dut subir un nouvel électroencéphalogramme. Luca a néanmoins continué à faire des crises même au cours de l’électroencéphalogramme.
Il fut ensuite décidé d’arrêter la Depakine et de commencer un traitement au Topamax. Luca a ainsi pu voir disparaître ses crises pendant 3 jours.
 
Le mardi suivant, les crises reprenaient et duraient plus longtemps, parfois 5 minutes.
 
Début septembre, malgré que Luca prenait du Topamax, du Keppra et de la Depakine, les crises continuaient à se produire chaque jour.
Par l’intermédiaire d’un ami, nous avons été mis en contact avec un professeur de l’hôpital universitaire de Leuven. Le 7 septembre, Luca fut admis à l’hôpital pour un séjour de plus d’un mois. Après une deuxième ponction lombaire et de nombreux autres examens, on nous donna le diagnostic: Syndrome de West(épilepsie du nourrisson ou encéphalite myoclonique infantile)
Si le traitement au Sabril ne donnait pas de résultats, il ne restait plus qu’une possibilité. Mais si les crises ne s’arrêtaient pas notre enfant n’aurait plus pu évoluer.
Comme le Sabril ne donnait pas de résultats, c’est une cure d’ACTH qui fut prescrite. Luca recevait une piqûre tous les jours. Il avait dû être isolé car son système immunitaire étant complètement à plat, il n’était pas question qu’il attrape une infection. Seuls mon mari et moi pouvions avoir accès à sa chambre.
 
Les crises se sont heureusement arrêtées.
Le 17 octobre nous sommes tous rentrés à la maison. Luca devait continuer à prendre le Sabril et la Depakine. Les crises ne se sont plus manifestées.
Quand je dis à Louvain que tout cela est arrivé à cause du vaccin, je reçois toujours la même réponse : Le vaccin a été le déclencheur ; il n’est pas la cause. »
Chaque fois que je retourne avec Luca à Louvain, le professeur évoque : « ah, voilà mon enfant miraculé ! » Il n’a cependant aucune explication pour le fait que Luca ne fait plus de crises et a continué à évoluer. Tout son retard a été rattrapé, mais personne ne peut nous donner une explication.
 
Luca ne pourra pas recevoir son vaccin contre la rougeole
Quand je lis des articles scientifiques suisses, néerlandais, français, je puis y trouver la description de cas d’épilepsie après vaccination contre la varicelle et la rougeole.
 
S.C. maman de Luca
 
Voir sur le site l'explication d'Initiative citoyenne
img38securedownload--2-.jpgTémoignage de parents français sur Doctissimo sur l'enfer vécu après vaccination de leur enfant par le Rotateq (vaccin anti-rotavirus):
 
« Nous sommes, ma femme et moi scandalisés et très en colère contre le vaccin anti gastro-entérite ROTATEQ fabriqué par SANOFI-PASTEUR.

15 jours après avoir reçu la première dose, le 05 mars 2013, notre bébé de 3 mois et demi, en très bonne santé et sans aucune allergie a failli mourir suite à une invagination intestinale sévèrement grave de 14 cm de longueur, suivie d’une abondante hémorragie. (La pédiatre est formelle)
 
Douleurs abdominales, vomissements, perte d’appétit et le plus grave encore du sang dans la couche sans selles et en abondance !!!!
 
Arrivé aux urgences de l’hôpital vers 13h, après plusieurs recherches et investigations et la découverte d’une masse dure et compacte dans l’abdomen, on a pu diagnostiquer l’invagination intestinale au moyen de l’échographie vers 18h.
 
Un essai au lavement auquel j’ai assisté, pertinemment éprouvant pour le bébé ainsi que pour les parents, a été d’abord pratiqué avant d’envisager l’intervention chirurgicale, sans résultat concluant, il a été finalement opéré à 22h30, près de 24h après les premières douleurs.

S’en suivent 4 nuits et 5 jours d’hôpital dans l’angoisse que cela se reproduise dans les heures qui viennent !!!

Nous ne comprenions pas d’où cela pouvait venir puisqu’il n’y a pas eu d’antécédent ni avec son frère aîné de 4 ans, ni avec aucun membre des familles des deux parents… jusqu’à ce qu’on fasse le lien avec le fameux ROTATEQ.

Aujourd'hui, après,

1-Une hospitalisation de 5 jours pour le bébé et les parents qui ont dû l’accompagner durant toute cette souffrance,
2- Le cauchemar que cela se reproduise car le risque existe toujours,
3- Notre vie et notre travail que nous avons dû mettre de côté,
4- Le traumatisme psychique pour nous les parents, nos deux familles ainsi que le frère aîné que nous avons délaissé à la nounou,
5-Les frais supplémentaires de cette dernière, 
6-Les journées non rémunérées d’absence au travail,
7- Une cicatrice physique à vie et psychique pour le bébé,
8- Sûrement encore d’autres effets indésirables ou organes vitaux attaqués par votre potion, et je passe tous les désagréments que ce cauchemar nous a fait vivre, nous considérons que l’addition est sévèrement lourde pour un vaccin qu’on a acheté + de 60 euros la dose (puisqu’il y en a deux ou trois à prendre) et qui était censé protéger notre bébé de 3 mois et demi qu’on a failli perdre !!!!!!

Nous avons eu beaucoup de chance de nous trouver dans un pays et un hôpital doté des moyens nécessaires à la détection et au diagnostic d’une grave intussusception, plus connue sous le nom d’invagination intestinale, car un cas similaire au nôtre qui interviendrait dans d’autres pays moins dotés en matériels ou moins expérimentés connaîtrait sûrement une issue fatale pour leurs bébés !!! »
 
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5116262408_3c0beab678.jpgTandis que j’alerte toutes les personnes honorables d’Europe et d’ailleurs, quant aux désagréments que me fait subir la France, je tenais à vous écrire, vous tous, que le sujet concerne et vous informer que selon les dires de Sylvie SIMON, (journaliste/ écrivain) des milliers de personnes, tous les ans, sont victimes de bavures médicales mais que personne n’en parle.
 
Suite à une poliomyélite qui n'a pas été bien traitée, les conséquences furent, après une ou plusieurs vaccinations mal abouties, une méningite tuberculeuse aigue.
En 1983 à l’aube de mes 10 ans, mes défenses immunitaires étaient très basses, je mesurais 1 mètre 23 et pesais 18 kilos. Par la suite sont apparus des problèmes de concentration et de mémorisation, hémianopsie latérale gauche, paralysie latérale faciale gauche, atrophie du bras gauche et de la jambe gauche. (atrophie de la jambe corrigée grâce à presque 29 ans de kinésithérapie dont 10 ans en décembre prochain avec l’application de la méthode Mézières).
J'ai été contraint d’arrêter mon cursus scolaire en 4ème des collèges à cause de mon état de santé en totale défaillance. Pourtant élève prometteur à l’époque, je ne suis aujourd’hui, ni manuel ni intellectuel, j'ai connu des épisodes de dépressions, de boulémie (j'ai fait jusqu'à 100kgs pour 1m65).
 
Afin de pouvoir défendre mes droits, être reconnu comme victime d’erreurs médicales, je me suis tourné vers différents organismes comme, l’association des victimes d’erreurs d’interventions et d’actes médicaux (A.V.I.A.M), la Commission d’Accès aux Documents Administratifs (C.A.D.A), le tribunal administratif (T.A), la COTOREP, les Centres d’Aide par le Travail (C.A.T), le Conseil d’Etat (C.E)… Résultat : On refuse de me remettre mon complet dossier médical, m’empêchant ainsi d’avoir droit au moindre examen médical loyal et équitable de mon état de santé.
 
Personne ne fait rien de concret pour les victimes. Pire encore, certains médecins dont le dr Mselati « nommé expert » conclue en une absence de séquelle.
 
Pour que je puisse enfin, aujourd’hui, défendre mes droits, je sollicite l’avis de tout professionnel compétant pour attester des préjudices dont je suis victime.
 
Puisque personne ne semble être affecté par le sujet, j’ai décidé de constituer une association pour la meilleure défense des droits des victimes ayant subies des erreurs médicales et qui sont privées de leur dossier.
 
 
Jacques Goutte.
Les Cabanne
86510 Brux
Tel : 05 49 59 00 06 
 
img38VacTruth.com, Christina England nous signalait qu’une  petite fille de 7 ans, en pleine forme et en parfaite santé, est décédée de manière complètement inattendue un peu avant Noël après avoir été vaccinée contre la grippe. Kaylynne est morte dans les bras de sa maman quatre jours après que le médecin de famille lui ait administré le vaccin contre la grippe au cours de la visite médicale annuelle.
 Les officiels ont ouvert une enquête au sujet du décès de la petite fille et une autopsie est prévue dans quelques semaines. La maman de Kaylynne est certaine que le vaccin a tué sa fille et a déclaré aux journalistes : « Nous attendons une réponse, mais au plus profond de nous, nous pensons que c’est le vaccin. »
Les officiels cependant ne sont pas convaincus que le vaccin contre la grippe a été la cause du décès de la petite fille.
D’après un rapport paru dans le Vermont’s Independent News, le Dr Harry Chen, Commissaire à la Santé a voulu clairement préciser que, selon lui, il était fort improbable que le décès de Kaylynne ait un rapport avec le vaccin. Il signale qu’il s’inquiète que l’alarmisme ambiant détourne les parents de la vaccination de leurs enfants.
3942148370_c6205162a4.jpgChen a précisé que des décès après vaccins étaient très rares et qu’un décès après un vaccin contre la grippe n’avait jamais été signalé au Vermont. Le journaliste Ken Picard a écrit : Chen, ainsi que les autres officiels de Santé s’inquiètent davantage des effets que va produire cette nouvelle (où le décès de la petite fille est prématurément lié au vaccin contre la grippe) parce qu’un plus grand nombre de parents pourraient ne plus faire vacciner leurs enfants contre la grippe saisonnière.
Une enfant de 7 ans décède juste quelques jours après avoir reçu un « soit disant vaccin sans danger » et tous les officiels de la santé s’inquiètent des conséquences que sa mort aura sur les statistiques vaccinales ! à mon humble avis ce comportement est écœurant et illustre parfaitement la façon inhumaine dont les officiels traitent les parents qui vivent un deuil, et ce, afin de poursuivre leurs propres objectifs.
Est-ce que les décès qui suivent la vaccination contre la grippe sont aussi rares que Chen l’a déclaré et est-ce que les vaccins en général sont aussi sûrs qu’on nous le fait croire ? 
Références : 1. Seven Days – Vermont’s Independent News http://www.7dvt.com/2012flu-shot-or-not- state-health-officials-warn-against-alarmist-reaction-young-girls-death
img38Par les voix d’Isabelle Palmitessa et Daniel Barbieux, la RTBF nous prévenait qu’un couple de Charleroi a porté plainte contre X après la mort de leur petite fille âgée de 2 mois et demi. Elle est décédée 3 jours après avoir été vaccinée. Pour les parents, ce décès est suspect.
 
« Les faits remontent à la mi-octobre. La petite Stacy et sa sœur jumelle Lesly, 2 bébés de 2 mois et demi, sont amenées par leurs parents à la consultation des nourrissons à l'Office National de l’Enfance. Elles reçoivent 3 vaccins : le Prevenar®, l'Infanrix® et la Rotarix®. Selon les parents, Stacy était enrhumée. 3 jours plus tard, la petite fille est très fiévreuse. Admise à l'hôpital Notre-Dame de Gosselies, elle décède dans la nuit. Son corps est couvert de plaques bleues.

Pour les parents, cette mort est suspecte et ils ont déposé plainte contre X. Le dossier est entre les mains d'une juge d'instruction du parquet de Charleroi. L'enquête est en cours. »

Il faut signaler que le Japon a retiré le Prevenar® du marché après la mort suspecte de 4 bébés âgés de 6 mois à 2 ans, et qu’ils n’ont pas déclaré avant toute enquête, comme nous l’avons fait en France, que les vaccins étaient « hors de cause ». On persiste à prétendre que les décès après vaccins sont très rares, mais les témoignages que nous recevons prouvent le contraire, et certains effets secondaires très graves sont aussi épouvantables que les décès, autant pour les familles que pour les victimes.    img38
 
Témoignage de MB qui garde l'anonymat pour éviter que ses amis ne découvrent sa maladie 
Je me suis fait vacciner pour la première fois en septembre 2007, puis en novembre 2007 et enfin en juin 2008.  
C'est à partir de la 3e injection que la maladie est apparue à l'âge de 19 ans. En effet, 20 jours après la troisième injection, un kyste m'est apparu sur la région fessière. Je me suis alors fais traiter pour un « furoncle ». Ce kyste est revenu, a été retraité, puis est revenu et a encore était traité ... Puis ils se sont délocalisés, ils sont venus à l'aine. Toujours les mêmes traitements antibiotiques (fuicidine ou pyostacine) qui me rendaient malades.
Après plusieurs visites chez les médecins, les dermatologues, personne ne savait vraiment ce que j'avais, mise à part une  « furonculose ".
En juillet 2009 après une année de « boutons » un énorme kyste est apparu, j'ai dû alors me faire opérer. Le chirurgien pensait à une bartholinite. 10 jours de méchage ont suivi pour la cicatrisation de la plaie. Mais seulement 5 jours après la fin des soins, le kyste est revenu de plus belle. Je suis alors repassée sur la table d'opération 15 jours après la première intervention.
La chirurgienne qui m'a opérée cette fois-là a réussi à enlever toute la coque du bouton, j'ai une cicatrice de 5 centimètres tout le long de l'aine, plus la précédente puisqu'ils n'ont pas opéré au même endroit. En effet, le premier m'a incisé au niveau de la glande de bartholin alors que ça ne venait pas de là. Pour la chirurgienne il s'agissait de poils coincés sous [...]img38
Accident mortel advenu au Canada en 2009.
Annabelle Morin est morte à 14 ans, victime du Gardasil®. Cette jeune fille en parfaite santé qui vivait à Laval a reçu le 9 octobre 2008 une première dose du vaccin sans la permission de ses parents, comme il est d’usage au Canada.
Le 24 octobre, 16 jours plus tard, elle s’est réveillée complètement perdue, incapable de parler ni de se souvenir de son nom ou de sa date de naissance.
« Ma première réaction a été de lui demander si elle avait pris des médicaments. On aurait dit une overdose. Ma fille ne prenait pas de drogues, mais, à 14 ans, on ne sait jamais », a raconté Linda Morin, la mère d’Annabelle à Paul Arcand, chroniqueur sur 98.5 FM à Montréal et à Denis Lévesque chroniqueur de la chaine  LCN.  
À l’hôpital, elle passa de nombreux tests et resta une nuit en observation. Les médecins finirent par diagnostiquer une migraine basilaire (induisant des problèmes de coordination des mouvements). La mère d’Annabelle insiste alors pour faire passer un scanner à sa fille, sans résultat concluant.  
Six semaines plus tard, le 24 novembre, Annabelle reçut la deuxième dose. Elle rentra chez elle, alla prendre son bain, et une demi-heure plus tard, sa mère la découvrait morte dans la baignoire.
Il faut noter que Linda Morin n’a jamais su, à cette époque, que sa fille avait reçu le Gardasil®. Elle n’en a eu connaissance qu’après avoir appris le retrait du vaccin en Espagne, à cause de ses  effets indésirables. Alertée, elle s’est renseignée et a appris qu’Annabelle avait été vaccinée au Gardasil® à l’école. À partir de 14 ans, les élèves sont en effet libres d’accepter ou non un traitement médical, incluant la vaccination au Gardasil®. Selon Mme Morin, celles qui auraient voulu refuser le vaccin ont été convaincues par les médecins et les infirmières scolaires de la nécessité de l’accepter. 
Les premiers troubles, tout comme la mort, sont chaque fois survenus deux semaines après l’administration d’une dose du vaccin. L’autopsie a montré qu’Annabelle ne s’est pas noyée, mais ne put permettre de découvrir la cause du décès. Janelle Marquis, l’infirmière qui a suivi la famille pendant plusieurs années, pense qu’il peut exister un lien entre les effets secondaires rencontrés et la vaccination car une réaction allergique à un vaccin peut prendre deux semaines avant d’atteindre son pic. La famille d’Annabelle tente maintenant de prévenir les autres jeunes filles des dangers potentiels, des effets secondaires et des conséquences possibles du Gardasil®. img38
 
Voici mon "historique" depuis ma vaccination avec le Gardasil, le 18 février 2008...
Avant ce jour, j'étais une adolescente lambda, sans souci de santé. 15 jours après la 1ère injection, j'ai constaté qu'une boule, ou un abcès, s'était manifesté dans mon aisselle...
Après l'échec des antibiotiques prescrits par mon médecin qui pensait a un poil sous peau, et comme il avait beaucoup grossi, il a fallu m'hospitaliser et m'inciser, pour mécher la plaie. Une semaine plus tard, un nouvel abcès apparait sous mon autre aisselle... , re-hospitalisation. à l'apparition du troisième, le chirurgien refuse d'opérer et m'envoie consulter une dermatologue à l'hôpital de la Conception, à Marseille.
Celle-ci diagnostique une maladie de Verneuil, maladie orpheline cutanée. Elle m'explique que cette pathologie se présente principalement par des abcès situés dans les plis du corps où l'on trouve des poils (aines, aisselles, coccyx, plis des seins, derrière des oreilles...). à partir de ce jour là, ma vie a changé ! Ma mère a commencé à se poser des questions sur le fait que 15 jours (temps d'incubation d'un vaccin) après la vaccination, cette maladie soit apparue si soudainement. Bien entendu, je n'ai pas fait les deux injections suivantes [...]img38
 
  
Ceux qui nient tout lien entre les vaccins chargés de mercure et l'autisme vont avoir du mal à démentir la dernière découverte de la Coalition for Mercury-Free Drugs (CoMeD).
Grâce à une demande faite en vertu de la loi sur la liberté de l’information (FOIA), ce groupe à but non lucratif a obtenu des documents cruciaux qui dévoilent le rôle trompeur et manipulateur du Centre de contrôle et prévention des maladies (CDC) dans une étude clé danoise montrant un lien évident entre vaccins avec mercure et autisme.
En 2003, la revue Pediatrics a publié une étude faite au Danemark, qui observait une baisse importante du taux d'autisme dans le pays après l’élimination du thimérosal, un ingrédient mercuriel des vaccins.
Mais, grâce à l'influence corruptrice du CDC, la version de l'étude publiée dans Pediatrics prétendait en fait le contraire, et alléguait que le retrait du thimérosal avait augmenté le taux d'autisme
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image_69643571.jpgJe m'appelle Rachel et j'ai fait vacciner ma fille Laetitia en 2007 avec le vaccin GARDASIL. 
Dès la deuxième injection et surtout depuis la 3e, ma fille ainsi que toute la famille vit un véritable enfer. Quotidiennement depuis 4 ans, Laetitia doit affronter des nausées, syncopes, douleurs insupportables à la tête et au ventre, des paralysies imprévisibles de la jambe et du bras droit (ce qui l'a conduite à perdre le contrôle de sa voiture cet été, des phases de pertes de poids importantes, environ 8 kg en une semaine qu'elle reprend la semaine suivante sans presque rien manger puisque tous les jours elle a envie de vomir. Elle perd ses cheveux par poignées, est blanche comme un cadavre, elle est très essoufflée en permanence, ne peut plus courir, a des difficultés à marcher longtemps a cause du mal au ventre, n'y voit presque plus de loin, ne supporte plus la chaleur ou la lumière vive. Elle ne peut plus sortir avec ses amies, aller au cinéma sans tomber dans les pommes, se concentrer, rester très longtemps devant un écran quel qu’il soit. Elle a constamment des bouffées de chaleur, des troubles du langage, de l'équilibre...
Deux mois après la 3e injection, [...]img38
A son tour, Jean Jacques Bourguignon, père d’Océane, lance un appel aux autres parents :  La loi du silence, la loi de l’argent !  
ATTENTION ! SI VOUS AVEZ UNE ADO A LA MAISON
Surtout ne pas faire dans l'immédiat la vaccination du Cancer de l'utérus au GARDASIL de Sanofi Pasteur.

Ma fille OCEANE BOURGUIGNON de 15 1/2 ans a déclaré une sclérose en plaque violente suite à cette vaccination au Gardasil.
Elle restera avec des séquelles importantes.
Le Neurologue et Pédiatre de L'hôpital de Dax qui la suivent avec ceux de Bordeaux nous ont informés le soir du  5 avril 2011 qu'ils remontaient l'information de ce cas sur les services AFSSAPS en incriminant ce vaccin GARDASIL
Dans le meilleur des cas : Attendre pour réaliser cette vaccination !
Je pense que ce médicament risque fortement d'être arrêté (Il fait parti des quelques médicaments sous surveillance pour survenue de  maladies auto immunes, mais aucun rapport réalisé par L'Afssap depuis 2008).  
Et Jean Jacques Bourguignon a envoyé une lettre envoyée au Dr de L'AFSSAP BDX qui traite ces dossiers. Il n'attend aucune réponse mais « de savoir qu'elle aura vu sa fille en photo » lui permet d’espérer qu’elle aura « une bonne prise de conscience ».
Il a écrit :  Je m'adresse à vous en tant que parent dans le désarroi. Pensez vous que ce Gardasil va faire encore pas mal de dégâts chez nos ados avant de l'interdire.
Je voudrais vous envoyer des photos d'Oceane pour que ce ne soit pas qu'un dossier pour vous ! parmi d'autres. (Trois attaques en moins de deux mois) .
Et voila le résultat ! 16 ans au mois de Mai. quel avenir ! Bonne anniversaire ma fille!
Cordialement. 
Jean Jacques Bourguignonimg38
  Gardasil : Une jeune fille aveugle après le vaccin
Une jeune fille de 16 ans est devenue aveugle après avoir reçu le vaccin Gardasil, comme il est rapporté dans le numéro de Mars 2010 du Journal of Child Neurology. Les médecins qui ont écrit l’article déclarent que la jeune fille était en parfaite santé avant la vaccination. Comme c’est souvent le cas dans les rapports médicaux, les médecins disent ne pouvoir aboutir à des conclusions absolues et définitives. Ils n’ont cependant trouvé d’autre explication et reconnaissent qu’au moins un autre vaccin a déjà pu entraîner pareilles réactions.
 Dix jours après sa seconde injection de Gardasil, cette jeune fille a souffert d’encéphalomyélite aiguë, inflammation du cerveau et de la moelle épinière. Une démyélinisation s’en est suivie. Il s‘agit de la destruction de la gaine qui entoure les nerfs.
En conséquence, la jeune fille a souffert de graves céphalées du côté gauche et a perdu la vue de l’œil droit. La situation s’est ensuite rapidement détériorée en migraine généralisée à toute la tête. Elle a dans la suite aussi perdu la vue de l’œil gauche. La paralysie qui avait touché son bras gauche a été temporaire, mais elle n’a pas pu récupérer la {...}
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  Matthieu Palan pour Libération
Première vie : Laëtitia est une gamine rigolote et sportive qui devient au fil des étés une ado épanouie, timide mais cotée auprès de ses camarades travaillés par leurs hormones. Avec son copain, elle découvre le sexe. Elle a 16 ans. Sa mère, Rachel, est d’accord. Mais fin 2007, elle tombe sur une pub, à la télé. On voit mère et fille sous le même imperméable, s’abriter d’une averse. Et le commentaire : «Protéger sa fille, c’est ce qu’il y a de plus naturel pour une mère. Le vaccin Gardasil peut prévenir 70% des cancers du col de l’utérus, parlez-en à votre médecin, c’est important.» En 2001, à 37 ans, Rachel s’est fait enlever l’utérus, suite à un fibrome, alors ce vaccin «remboursé par la Sécu», Laëtitia le fera.
Chez les Celli, on fait confiance à la science et on ne blague pas avec les rappels. Pourtant [...Gardasil : Calvaire post-vaccin pour une mère et sa fille ]
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Naomi Snell 567410345Naomi Snell de Melbourne en Australie venait d’avoir 25 ans. Parallèlement à ses études de journalisme elle gagnait sa vie et faisait chaque jour ses 5 km de course à pieds. En janvier 2008 elle reçut le dernier des 3 vaccins Gardasil comme les officiels de santé publique australiens le recommandaient. suite ici
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Internet est souvent le premier lieu d'alerte sur la toxicité d'un médicament parce que le corps médical rapporte trop peu souvent les effets secondaires, par manque de temps et de formation et parce que les agences des médicaments sont loin d'être aussi indépendantes qu'elles le devraient à l'égard des fabricants.
Souvent rabroués ou mal diagnostiqués, les patients ou les parents d'enfants victimes trouvent alors dans Internet le seul véritable espace de liberté pour faire part aux autres de leurs malheurs. Ce faisant, elles ont aussi une véritable occasion de se rendre compte, le plus souvent, qu'elles sont loin d'être les seules dans ce cas, là où les fabricants prétendent souvent aux patients ou aux médecins que "c'est la première fois qu'ils entendent parler de cet effet secondaire-là."
Au sujet du vaccin Prevnar, plusieurs témoignages recueillis sur Internet devraient vous aider à vous faire votre propre opinion sur le sujet: SUITE ICI img38 
217670 168578526529026 100001306393647 351372 2815799 sQuadriplégie chez une enseignante (Professeur à l’Ecole d’Infirmières- Université du Connecticut) après le vaccin contre la grippe - Vidéo interview NVIC
C’est l’interview bouleversante de Joan, ancien Professeur à l’Université du Connecticut ( Ecole d’Infirmières).
Sa fille Katie raconte qu’elle fut atteinte d’un Guillain Barré ( quadriplégie) à la suite d’une vaccination contre la grippe, alors que jusque là elle avait été en parfaite santé, forte et indépendante. Elle aimait coudre pour ses enfants, elle aimait jardiner. Bien que professeur dans une école d’infirmière, elle ignorait que le vaccin contre la grippe, qu’elle avait d’ailleurs déjà elle-même administré, pouvait provoquer pareilles paralysies.
De très nombreux examens et analyses furent entrepris pour expliquer le cas ; des échantillons furent envoyés dans tous les coins…Tous ces examens et toutes ces analyses ont permis de tout exclure sauf le vaccin. Les médecins ont finalement dû reconnaître que rien d’autre que le vaccin ne pouvait expliquer ce drame.
Katie explique avoir été terriblement choquée de n’avoir pas été avertie que pareille chose pouvait se produire : dommages cérébraux, paralysies, mais aussi atteinte de nombreux nerfs partout dans le corps qui la faisait crier, pleurer. Le fait que plusieurs organes du corps étaient aussi atteints rendait les médecins très perplexes. Finalement la maman est devenue incontinente ; elle est tombée dans le coma. Un moment, elle est devenue aveugle. Elle qui aimait tant lire, ne sait aujourd’hui plus lire. Certaines fois la douleur était telle que nous ne pouvions même plus la toucher, explique Katie. Alors elle criait et pleurait ! « Joan, mon mari et moi étions terrifiés », explique Katie, sa fille. - Joan est passée d’un hôpital à l’autre, d’un centre de revalidation à l’autre Elle est actuellement complètement paralysée, souffre horriblement physiquement et psychologiquement ; elle ne peut se nourrir elle-même ni pourvoir à aucun de ses besoins. Elle est totalement dépendante 24 heures sur 24. A certains moments même la morphine n’agit plus. Ces problèmes ont bouleversé toute la vie de la famille.
Tous les médecins qui furent consultés reconnurent avoir déjà vu ce genre de complications après la vaccination contre la grippe, ils reconnurent que la chose était connue et pas spécialement rare. Dans l’hôpital où se trouvait Joan, 7 autres personnes avaient, elles aussi, eu des réactions graves au vaccin. Katie fait remarquer que rien que dans leur entourage proche 4 autres personnes avaient eu un Guillain-Barré après le vaccin contre la grippe ! Les médecins ont expliqué à Katie que la plupart des cas n’étaient pas déclarés au gouvernement.
De ce fait beaucoup sont dans l’ignorance. A l’hôpital, Katie a dû plusieurs fois s’interposer quand on a voulu faire d’autres vaccins à sa maman !
Tous ces soins, visites et séjours dans les hôpitaux, centres de revalidation ont été terriblement coûteux. Sans l’épargne et la pension de Joan, explique son beau-fils, il y a longtemps qu’elle ne serait plus là !
Katie et sa maman expliquent que la famille a accepté cette interview pour informer, éclairer et peut-être venir en aide aux personnes qui ont eu la même expérience, pour qu’en quelque sorte elles se sentent moins seules. Elles veulent que l’on puisse se rendre compte des dommages que certaines vaccinations peuvent produire, comme de l’importance qu’il y a à être complètement informé avant d’accepter une vaccination.
 Vidéo en anglais, à voir ! (Réalisé par Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC)
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 Stacey Jones, 17 ans, a souffert de sa première crise d’épilepsie 4 jours après la troisième injection du Cervarix®, vaccin offert en « rattrapage » par le gouvernement du Royaume-Uni à toutes les élèves de son âge qui n’ont pas été vaccinées plus tôt, comme il le recommande. Elle avait déjà eu quelques troubles après la première injection, mais ses parents n’avaient pas songé à établir un quelconque rapport avec le vaccin. C’est après la dernière dose que la situation s’est spectaculairement dégradée. Au cours des semaines suivantes, elle a subi 17 autres attaques d’épilepsie provoquées par de gros problèmes neurologiques. Elle perdit alors la mémoire, devint psychotique, entendant des voix et proférant des menaces de mort. Les médecins estimèrent que ces troubles étaient dus à une encéphalite, mais ne purent confirmer quelle en  [...]   
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Naomi raconte qu’elle est tombée malade après ses premières doses de vaccin, mais n’ayant pu établir un lien entre ses problèmes de santé et le vaccin, elle se fit vacciner une troisième fois.
Quelques semaines après le dernier vaccin, elle commença à souffrir de douleurs dans tout le corps et d’inflammations des articulations. Peu de temps après, elle commença à perdre l’équilibre, à souffrir de convulsions et ne put finalement plus marcher.
Elle consulta un rhumatologue car ses tests sanguins avaient démontré une réaction auto immune. Elle fut finalement orientée vers un neurologue chez qui elle est toujours en traitement. L’IRM du cerveau révéla une démyélinisation comme celle qui est associée à la sclérose en plaques.
 
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Une communauté du Cap en Afrique du Sud est choquée et en colère après le décès soudain et mystérieux de deux bébés.
Les bébés âgés de trois mois sont décédés dans les quelques heures qui ont suivi la vaccination de routine à la clinique locale.
Hajiera Liewenberg, (23 ans) qui avait, mercredi, accompagné la maman Nikita Le Grange (20 ans) à la clinique de jour,explique que le bébé Tyler âgé de 14 semaines est mort dans son sommeil. « Quand nous l’avons amené ce matin à la clinique pour sa vaccination il était vraiment très bien. »
« Il est tombé endormi ici à l’hôpital et la maman l’a mis au lit quand elle est rentrée chez elle » explique Hajiera.
« Revenue voir l’enfant pour vérifier si tout allait bien, elle découvrit que son visage était bleu. L’enfant fut alors immédiatement transporté à l’hôpital par sa tante.
Hajiera explique que les médecins ont tout fait [...]
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alexanderAlexander Horwin a reçu 16 injections de vaccins avant l’âge de 17 mois. Dès l’âge de quatre mois, après ses premiers vaccins, il a manifesté des troubles du sommeil, une grande nervosité, pleurant et criant plusieurs fois par nuit, avec des périodes de spasmes et de convulsions. Ensuite apparurent des infections aux oreilles et des maux de ventre, mais le pédiatre ne cessait d’affirmer aux parents qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Lorsqu’il eut un an, ses jambes se couvrirent d’eczéma. Le pédiatre rassura à nouveau les parents et ordonna de la crème à la cortisone qui ne fit aucun effet. L’enfant reçut bien évidemment ses rappels de vaccins et, lorsqu’il commença à vomir, le pédiatre prétendit qu’il avait une infection virale, diagnostic confirmé par un spécialiste.
Lorsque Alexander eut deux ans, on découvrit qu’il était atteint d’un cancer au cerveau, un médulloblastome. Après deux opérations qui ont duré 16 heures, ses parents furent contraints par le gouvernement de le soumettre à la chimiothérapie. Trois mois plus tard, encore sous chimio, l’enfant décédait d’un sarcome leptoméningé.
Pour un article qui a paru à l’époque dans le magazine Votre Santé, j’ai posé dix questions à sa mère, Raphaele Moreau-Horwin, qui est d’origine française mais vit aux États-Unis, mariée avec un Américain.
Comment votre fils a-t-il pu avoir un cancer si jeune ?
Il n’existe aucun antécédent de cancer dans nos deux familles qui ont toujours bénéficié d’une grande longévité. Mes grands parents n’étaient pas vaccinés, ma mère a reçu un seul vaccin, j’en ai eu sept, mon fils en a eu beaucoup trop. Alexander était grand et fort pour son âge, sa nourriture était saine, nous ne vivons pas près d’un site nucléaire, nous n’utilisons pas de pesticides. En dépit de notre désespoir, nous nous sommes lancés dans une enquête quasiment policière, lisant des milliers d’articles dans la littérature médicale. Un jour, en consultant le carnet de santé de notre fils, j’ai pris conscience de la quantité énorme de vaccins qu’il a reçus avant de développer son cancer. Que contenaient ces vaccins et quels étaient leurs effets secondaires ?
Comment avez-vous établi le lien entre les vaccins et le cancer ?
Nous avons découvert qu’aucun des vaccins administrés aux enfants n’a fait l’objet d’études sur leurs risques carcinogènes et nous avons identifié six manières dont la vaccination peut induire un cancer, directement ou indirectement. Les cancers des enfants augmentent dans des proportions inquiétantes, pourquoi les « autorités » ne mènent-elles pas des études sérieuses sur ce sujet ? La réponse est très simple : l’argent. La recherche médicale est financée par les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement (grâce à nos impôts). Les deux parties ont tout intérêt à maintenir la situation telle qu’elle est actuellement. Pourquoi un laboratoire ferait-il des études pour prouver que les produits qu’il vend risquent de causer des cancers ?
La médecine classique n’a jamais admis que les vaccins pouvaient être carcinogènes.
Personne ne peut répondre à cette question car aucune étude n’a été menée en ce sens, pas plus que sur leurs risques mutagènes ou tératogènes. Or, les vaccins contiennent des substances carcinogènes. Ainsi, si vous téléphonez à l’Association américaine des pédiatres en leur demandant quelle est la dose maximum de dérivés de mercure, d’aluminium ou de formaldéhyde qui peut être tolérée par l’organisme d’un enfant, ils vous répondront que toute dose est dangereuse car ces substances sont toutes potentiellement carcinogènes. Or, elles se trouvent dans la plupart des vaccins. Si vous injectez vous-même ces produits à vos enfants, vous irez en prison mais si les médecins le font, ils ne risquent rien.
Certains virus eux-mêmes sont réputés être carcinogènes.
Le rapport entre certains virus et certains cancers est un fait médicalement accepté. Il existe des dizaines de milliers de virus mais bien peu ont subi des tests pour détecter leur pouvoir carcinogène. En outre, des virus peut être sans danger par eux-mêmes mais peuvent devenir redoutables lorsqu’ils sont combinés avec d’autres. On les appelle des « virus helper ». Et lorsque vous savez qu’on injecte des bactéries et des virus cultivés sur des tissus animaux tels que ceux des singes qui contiennent leur propre population de virus, il est difficile de savoir ce qui se trouve dans la « soupe » vaccinale qui sera introduite dans le corps sain de votre enfant.
De toute manière, le fait que les vaccins peuvent causer des lésions temporaires ou permanentes du cerveau est établi.
Les fabricants de vaccins eux-mêmes l’admettent. Ainsi; Lederle, fabricant du vaccin tétanos-diphtérie-coqueluche le signale dans son mode d’emploi. « Des séquelles neurologiques durables et des décès ont été rapportés » signale le P.D.R., équivalent du Vidal français mais plus complet, dans son édition de 1997.
Comment un médulloblastome a-t-il pu céder la place à un sarcome leptoméningé ? 
La plupart des drogues contenues dans les chimiothérapies sont bien connues pour leurs effets carcinogènes et mutagènes et la FDA le reconnaît. Cependant, chaque jour, des centaines d’enfants reçoivent ces substances mortelles. Le système immunitaire d’Alexander, affaibli par la chimiothérapie qui lui a été imposée et qui était fabriquée par le laboratoire qui fabrique aussi les vaccins, n’a pas eu la force de combattre ce nouveau cancer.
Une analyse du tissu tumoral prélevé dans le cerveau de votre enfant a révélé la présence du virus simien SV 40. Il est évident qu’on ne peut plus évoquer une « coïncidence » entre la vaccination et le cancer. Le SV 40 n’est pas arrivé « par hasard » dans le cerveau de l’enfant !
Au cours des années 50 et 60, le vaccin antipolio qui a été injecté à des millions d’enfants était pollué par un virus simien qu’on a appelé SV 40 et ce virus était carcinogène. Le vaccin fut ensuite retiré de la vente mais aujourd’hui, on retrouve ce virus dans de nombreux cancers dont des cancers du cerveau. Le SV 40 est souvent associé au médulloblastome, la plus fréquente des tumeurs du cerveau en pédiatrie. Est-ce une coïncidence ? Je ne le crois pas. On a découvert que le SV 40 peut se transmettre d’une génération à l’autre.
On trouve aussi le SV 40 dans des mésothéliomes (cancer des poumons) et des ostéosarcomes (cancer des os).
En 1997, au cours d’une conférence sur le SV 40, des chercheurs ont considéré « l’énorme augmentation dans l’incidence des mésothéliomes dans la seconde partie du vingtième siècle qui a coïncidé avec l’inoculation malencontreuse de millions de personnes avec le vaccin antipolio contaminé par le SV 40 ». Ils ont ajouté qu’on trouve davantage de tumeurs cérébrales chez les vaccinés que chez les non vaccines. Aussi se pose une question fondamentale : Le SV 40 des années 50 serait-il de retour ? Les parents transmettent-ils le cancer à leurs enfants ? Le cancer est souvent associé à une déficience immunitaire. Mais les vaccins aussi peuvent engendrer les mêmes déficiences. Les scientifiques commencent à comprendre que l’inoculation de billions de virus dans un organisme est un événement anormal qui engendre dans le corps une réaction anormale. Si le système immunitaire réagit fortement à la soudaine invasion de billions de virus, il peut ne plus être capable ensuite de faire face à une autre agression tel un cancer.
Il faudrait donc vérifier l’état du système immunitaire avant toute vaccination.
Les fabricants de vaccins avouent qu’on ne devrait pas vacciner un enfant qui ne présente pas une réponse immunitaire satisfaisante. Mais il y a là une contradiction car, d’après le rapport du Comité médical de la Fondation de la Déficience Immunitaire publié en 1992 « la plupart des déficiences immunitaires ne peuvent être diagnostiquées avant l’âge de un an ». Or, avant un an, l’enfant a déjà reçu une bonne dose de vaccins. Il est donc incontestable que cette pratique est irresponsable et dangereuse. Ainsi, la réponse à ce paradoxe est que chaque vaccination d’un enfant est un jeu de roulette russe.
Vous semblez décidés à vous battre pour prouver la responsabilité des autorités vaccinales et gouvernementales.
Nous irons aussi loin qu’il le faudra pour étaler au grand jour le danger réel et bien caché des vaccins. Ceci dit, nous avons engagé les meilleurs avocats spécialistes de cette question et travaillons avec des virologues de réputation internationale. Nous devons cela à notre fils et ferons tout pour que ce drame ne se reproduise plus.
Les Horwin ont les moyens d’y parvenir, financiers et surtout intellectuels, ce qui n’est pas courant. Michael, le père, est devenu avocat et défend les malades et sa femme Raphaele a étudié la biologie pour mieux comprendre. Ce drame a eu lieu il y a plus de dix ans, mais les parents espèrent que le cas dramatique de leur enfant pourra un jour ébranler enfin les certitudes de nos vaccinateurs « à tout va ».
Science du 7 novembre 1986 (234, 746-747) a publié les résultats des expériences menées aux États-Unis par R.T. Javier, F. Sedarati, et T.G. Stevens, de Los Angeles, et qui ont montré que deux virus inoffensifs mis en présence l’un de l’autre, peuvent se recombiner et donner naissance à un « mutant » pathogène. Cette souche virulente peut alors entrer en conflit avec son hôte et déclencher une maladie, voire la mort. Mais lorsqu’un tel accident se produit des années plus tard, personne ne songe à établir un lien entre les deux événements.
Et personne n’en parle lorsqu’il s’agit de campagnes vaccinales ou de multiplication des vaccins chez un même individu
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log.com/233x300/4/11/48/29/Photos/securedownload.png" alt="securedownload.png" class="noAlign" />Christina Richelle Tarsell, 21ans, est morte  pendant son sommeil le 23 juin 2007 chez elle à Tivoli, New York.

L’autopsie n’a pu déterminer la cause de la mort de cette jeune fille en parfait état de santé, mais sa famille suspecte le vaccin Gardasil®, dont la première dose lui a été administrée 18 jours plus tôt.
Sa mère, Emily Tarsell, a accusé le laboratoire Merck, fabricant du vaccin, de dissimuler le cas de sa fille dans le rapport que la compagnie pharmaceutique a envoyé au VAERS (système de pharmacovigilance vaccinale) dépendant des Centres de Contrôle des maladies (CDC).
 Elle a confié au journal The Examiner : « Merck a dit dans son rapport au VAERS qu’un médecin a rapporté que ma fille avait une splénomégalie (gonflement de la rate) causée par un virus qui était possiblement mortel. […] Cela été fabriqué de toutes pièces. Le rapport d’autopsie a attribué le décès à une cause “indéterminée”, un suivi du CDC n’a pas permis de trouver la moindre preuve d’une infection virale et le pathologiste ainsi que ses médecins ont nié avoir raconté cela. »
 Emily Tarsell a envoyé un questionnaire de 10 pages à 39 patientes (ou à leurs familles) qui ont souffert d’effets secondaires après cette vaccination. Les réponses ont été révélatrices. « Dans chaque cas, il y avait une surplus de symptômes non préexistants au départ et qui allaient en empirant après chaque dose supplémentaire de vaccin Gardasil®. » 
Parmi ces 39 patientes, 6 d’entre elles sont mortes. Toutes les six se plaignaient de fatigue chronique associée à différentes combinaisons de vertiges, maux de tête, troubles cutanés et autres symptômes. Le statisticien James Garrett a découvert que le délai entre la vaccination et le décès ne pouvait pas être une coïncidence : « l’hypothèse que le Gardasil ne soit pas lié au moindre de ces six décès n’est pas défendable. »
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Le papa de la victime Kamlesh Patel prétend que les gouttes du vaccin rotavirus administrées à sa petite fille (3 mois) par son médecin de famille l’ont tuée. Le médecin effrayé a appelé la police. La petite fille a joué normalement jusqu’à cinq heures puis fut mise au lit.  
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secured.jpgZeda, Indiana
Il y a deux ans Zeda était une étudiante brillante, très active et heureuse. La famille et les amis représentaient une grande partie de sa vie. En un mot elle était une jeune américaine normale qui jouissait de tous les aspects de la vie, et comme elle était bonne étudiante, son futur était vraiment très prometteur.
Le 5 novembre 2008, Zeda passa un examen médical de routine et reçut sa première injection de Gardasil. Le 28 novembre elle commença à se plaindre de faiblesse et de migraines. Comme ça se passait après la fête du « Tanksgiving Day, sa maman pensa qu’elle avait peut-être quelque peu exagéré.
Le matin suivant, Zeda se plaignit de maux de tête et resta au lit toute la journée. Quand elle essaya de se lever en fin d’après-midi, elle fit deux crises. Sa maman, suspectant quelque chose de très grave la conduisit immédiatement aux urgences .
 
Deux jours après sa première crise, Zeda ne réagissait plus à rien. Elle ne savait plus ni parler ni marcher ni communiquer de quelque manière que ce soit. Seul le respirateur la maintenait en vie. Zeda passa les quatre mois suivants aux soins intensifs luttant pour sa propre vie.
securedownload-copie-5Au cours de son séjour à l’hôpital on diagnostiqua finalement qu’elle souffrait d’une encéphalite (inflammation du cerveau) . Tous les éléments habituels qui auraient pu provoquer cet état furent éliminés les uns après les autres. Plusieurs médecins déclarèrent à la maman que l’état de sa fille aurait pu être causé par le vaccin HPV, mais ils se gardèrent de mentionner la chose dans le dossier. Zeda n’a bien sûr jamais reçu la deuxième dose du Gardasil.
Zeda est l’aînée de quatre enfants. Sa maman qui est seule, se dévoue totalement à ses soins. Elle a transformé son living en chambre d’hôpital de fortune. Sa maman l’assiste 24 heures  sur 24. Des infirmières passent quelques fois par semaine pour vérifier si elle progresse. Zeda qui a subi une trachéotomie respire par un tube. C’est aussi par un tube qu’elle est nourrie.
Deux ans après son seul vaccin HPV sa maman et ses sœurs espèrent et prient pour que la santé de Zeda se rétablisse. Ils apprécient chaque bon moment que Zeda peut encore vivre et font de leur mieux pour rester forts dans les moments plus difficiles.
La maman de Zeda a fait pas mal de recherches et est fermement convaincue que le Gardasil est le responsable de l’état de santé de sa fille. Elle pense que les parents doivent s’informer profondément et prendre conscience des effets secondaires possibles des vaccins HPV avant de décider de faire vacciner leurs enfants.
D’après Norma Erickson, chercheuse en matière de vaccinations  
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Nathalie NortonEncore une victime du vaccin qui « protège du cancer du col de l’utérus ».
Cette fois, ce n’est pas le Gardasil® mais le Cervarix® de GlaxoSmithKline qui a frappé.
Le 29 septembre 2009, la BBC annonçait qu’une jeune fille de 14 ans, Nathalie Morton, est décédée le 28 septembre à l’hôpital universitaire, peu de temps après avoir reçu ce vaccin dans une école de Coventry.
Une amie de la jeune fille a déclaré : « Environ une heure près l’injection, Nathalie est devenue toute pâle et avait du mal à respirer. Elle s’est évanouie dans le couloir. J’ai vu les ambulanciers pratiquer sur elle la respiration artificielle, puis les professeurs nous ont fait sortir. »
D’après les autorités sanitaires qui ont immédiatement décidé de lancer une enquête, la jeune fille aurait fait une réaction « rare mais très forte » à la vaccination. Les autres jeunes filles vaccinées en même temps ont été renvoyées chez elles parce qu’elles se sentaient malades et prises de vertiges. La panique s’est alors emparée des autres élèves qui ont alors compris que cette vaccination comportait des risques, jamais évoqués par les vaccinateurs.
Les services sanitaires ont placé ce lot de vaccin en quarantaine par « mesure de précaution », mais les services de santé ont confirmé que le programme vaccinal reprendrait « après une courte pause ». Sans doute le temps d’oublier cet accident de parcours.
Un officiel de Santé s’est alors empressé de déclarer qu’il n’existait sans doute « aucun lien » entre le vaccin et le décès et que l’enquête révèlerait peut-être une autre cause. Le Dr Caron Grainger, directeur de santé publique du district, a avoué qu’il y avait reçu 2 000 déclarations d’effets secondaires, mais la plupart d’entre eux étaient « mineurs ».
Quant au Dr David Elliman, de l’hôpital Great Ormond Street de Londres, il a avoué que « malheureusement, quelques jeunes décédaient soudainement pour des raisons variées, entre autres des causes cardiologiques. Parfois, ils sont en parfaite santé avant leur décès. »
En effet, officiellement, l’autopsie lui a donné raison car le médecin a prétendu que Nathalie était morte d’une « tumeur maligne du sein » qui a coïncidé avec la vaccination et l’a tuée « par hasard » dans les heures qui ont succédé à l’injection du vaccin. Or la jeune fille n’a jamais été diagnostiquée comme ayant une tumeur, et n’a jamais manifesté un symptôme de cancer. La mort par cancer du sein n’advient pas avant des mois ou même des années de maladie, alors que Nathalie Morton est morte en quelques heures et la description des symptômes ressemble à s’y méprendre à une réaction inflammatoire à une injection chimique. 
La mère de Nathalie estime que sa fille a servi de cobaye sous la pression de l’école.      img38
Quand Kamlesh revint vers 20 heures de son travail, il alla voir sa petite fille. Quand il essaya de la réveiller, il s’aperçut qu’elle ne bougeait plus ; elle portait en outre des taches sur les joues et sur les mains. Kamlesh et sa femme se précipitèrent à l’hôpital, mais s’entendirent dire que le Dr Patel n’était pas disponible.
On conseilla aux parents d’aller consulter le Dr Bharat Prajapati dans un autre hôpital.
Quand les parents arrivère [...]
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 Après les deux enfants morts en France à la suite de l’injection du Prevenar®, voilà que quatre enfants sont morts au Japon dans les mêmes circonstances. Les autorités sanitaires japonaises ont provisoirement arrêté la vaccination contre la pneumonie et [...]
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