L'Atelier de la mémoire de Sylvie Simon  (1927/2013)

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Quelques constituants des vaccins classés par ordre alphabétique

Publié par Sylvie Simon sur 4 Octobre 2013, 10:11am

Catégories : #Vaccins- Ce qu'il faut savoir-Effets secondaires

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Voici quelques constituants des vaccins classés par ordre alphabétique et décrits brièvement. Vous verrez que l’aluminium, bien que très toxique et dangereux, n’est pas le seul danger qui menace les vaccinés :

Malgré les différentes purifications que subit un vaccin, des débris cellulaires provenant des cultures de cellules peuvent persister dans le produit final. Des fragments d'ADN et d'ARN peuvent donc contaminer un vaccin. Cet ADN peut venir s'intégrer à l'ADN d'une cellule de celui qui reçoit le vaccin, donc à son patrimoine génétique, et ainsi perturber ses fonctions cellulaires. Ceci peut être particulièrement dangereux lorsqu'il s'agit de l'ADN d'un des nombreux virus qui infectent malencontreusement les cultures cellulaires.

L'albumine humaine est une protéine extraite du sang humain. La fraction protéique du plasma, partie du sang qui ne contient pas les globules, contient environ 50 % d'albumine. Actuellement les préparations d'albumine humaine faites à partir de sang humain sont concurrencées par l'albumine humaine produite par génie génétique c'est-à-dire par des cellules génétiquement modifiées, des OGM. C'est ce qu'on appelle une albumine humaine recombinée. Celle-ci est produite sur des cultures de levures Pichia pastoris. Elle serait plus pure et donnerait moins d'effets secondaires que les anciennes préparations d'albumine. (Ce qui prouve bien l’existence tellement niée de ces effets secondaires).

Toute la presse a parlé récemment du risque cancérogène du formaldéhyde qui serait présent dans certaines couvertures pour enfants ou jouets importés de Chine. Mais il est connu (par nos services de santé) que le formaldéhyde par voie injectable (Vaccin Engerix B et autres...) est lui parfaitement inoffensif !

Ce vaccin est censé prévenir 6 maladies, mais il contient 11 antigènes différents : 1 pour la diphtérie, 1 pour le tétanos, 3 pour la coqueluche, 1 pour l’hépatite B, 3 pour la polio et 2 pour l’hæmophilus. Les anatoxines tétaniques et diphtériques sont obtenues par un traitement au formaldéhyde, classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l'arsenic, qui crée également des dommages dans certaines protéines des cellules comme les enzymes, microtubules et autres, et il semblerait même qu’il peut détériorer l’ADN, accroître l’activité carcinogène et générer des effets mutagènes. Le formaldéhyde, ou formol, utilisé pour embaumer les cadavres, a été classé, en juin 2004, comme « cancérigène certain » par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), qui dépend de l’OMS (Organisation mondiale de la santé). Jusqu'alors, il n'était considéré que comme « cancérigène probable ».

Les trois poliovirus sont cultivés sur lignée cellulaire continue VERO, purifiés et inactivés avec du formaldéhyde. Les composants DTPa-HBV-IPV sont formulés en solution saline et contiennent du phénoxyéthanol, qui est un éther de glycol, dangereux pour le système nerveux et le sang. Les éthers de glycol sont réputés cancérigènes et ont des effets génotoxiques sur les chromosomes.

Le polyoside Hib est préparé à partir de la souche Hib 20752, et après activation avec du bromure de cyanogène, gaz très toxique métabolisé en cyanure qui inhibe l'action de l'hémoglobine et surtout de la cytochrome oxydase, enzyme terminale de la respiration oxygénée.

Le vaccin contient aussi des antibiotiques (néomycine, polymyxine) et du phénoxyéthanol (éther de glycol).

Le Pentavac contient les vaccins contre la coqueluche, la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, et l'haemophilus influenzae B, mais il contient également de l'hydroxyde de sodium, du formaldéhyde et de la streptomycine.

Le Tétravac, utilisé chez le nourrisson en vaccin combiné anti diphtérie coqueluche, poliomyélite, tétanos, est adsorbé sur hydroxyde d’aluminium. Il contient du glutaral (toxique et irritant), des antibiotiques (néomycine, streptomycine, polymyxine B), de l’acide acétique (corrosif ) ou de l’hydroxyde de sodium (appelé usuellement soude caustique), du formaldéhyde, et du phénoxyéthanol.

Le vaccin antipoliomyélitique Imovax Polio contient les virus inactivés de type 1,  2 et 3, cultivés sur des cultures de cellules Vero, une lignée continue de cellules rénales de singes. Il contient également du phénoxyéthanol, du  formaldéhyde, de la protéine sérique résiduelle de veau, des traces de néomycine, streptomycine et polymyxine B, et de la phénylalanine, dangereuse pour ceux qui sont atteints de phénylcétonurie (maladie génétique héréditaire des personnes qui n’ont pas l’enzyme permettant de métaboliser la phénylalanine).

Fabriqué à partir de plusieurs souches de virus, le vaccin antigrippal est cultivé sur des cellules d’embryons de poulet inactivées par le formol. Sa composition est réactualisée chaque année en fonction des souches sélectionnées. Il contient également des conservateurs (mercurothiolate, formaldéhyde), de la bêta-propionolactone (qui est cancérigène) et des antibiotiques (polymyxine B, gentamicine) du polysorbate 80, qui rend les souris stériles et qui est soupçonné d’être carcinogène et mutagène. Tous ces produits sont toxiques et susceptibles d’engendrer des réactions d’allergies parfois très graves.

Le Thimérosal ou thiomersal (utilisé seulement dans les fioles multidoses du vaccin antigrippal) a été supprimé après des années d’attente. Utilisé comme agent conservateur dans les vaccins à partir des années 1930, à la fin des années 1990, en raison de préoccupations concernant la possibilité d'effets secondaires graves, les autorités sanitaires américaines et européennes se sont engagées à éviter le recours au thiomersal dans les vaccins. Les analyses des études épidémiologiques effectuées tant par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2006 et 2008, la Food and Drug Administration6 (FDA), l'Agence européenne des médicaments (EMEA) en 2007 et l'Agence française du médicament (Afssaps) en 2009, ont considéré, suivant leurs bonnes habitudes, que l’existence du risque neurologique n’était pas établie, tout en admettant que ces mêmes études épidémiologiques ne permettent pas d'écarter un tel risque. L'Afssaps a tout de même conclut que le bénéfice de l’utilisation des vaccins contenant du thiomersal reste très largement supérieur au risque qu'ils pourraient représenter. Toutefois, ce vaccin est l’un des rares ne contenant pas d’aluminium.

En  France, depuis 1983, contre la rougeole, la rubéole, et les oreillons, on utilise le Rorvax de Merck et l’Immovax de Mérieux, vaccins à virus vivant atténué par passages successifs sur œufs embryonnés. Ils contiennent de la néomycine, de l’albumine humaine, de la phénylalanine et du phénol.

Le Varivax (vaccin contre la varicelle) contient du glutamate monosodique, longtemps appelé syndrome du restaurant chinois) des cellules diploïdes humaines (provenant du tissu fœtal humain d'avortements).

Le Varilrix contient de l’albumine humaine.

Tous contiennent la souche japonaise OKA d’un virus vivant atténué et inactivé par l’éther, l’alcool et des antiseptiques.

 

Les vaccins anti-hépatite B

Ces vaccins sont préparés par génie génétique. L’Engerix B, fabriqué par les laboratoires SmithKline Beecham, est fabriqué à partir de cellules de levures « saccharomyces cerevisiae », dont on a modifié le patrimoine génétique en introduisant le principal antigène de surface purifié du virus, produit par la technologie de l'ADN recombinant, adsorbé sur de l'oxyde d'aluminium hydraté. Bien que le mercure ait été officiellement banni des vaccins à cause de sa toxicité, en raison de son procédé de fabrication, l’Engerix B renferme toujours une infime quantité de thimérosal, et il est notoire que même les quantités infimes gardent toujours une certaine nocivité.

Le vaccin Genhevac B, produit par Pasteur-Mérieux, est issu d'une construction OGM (un plasmide recombiné) utilisant notamment des fragments du virus SV 40 (reconnu cancérogène et qui pourrait se retrouver dans les impuretés du vaccin) et du virus de la tumeur mammaire de la souris. Il contient aussi de l’hydroxyde d’aluminium, du formaldéhyde et pourrait contenir une certaine enzyme au pouvoir mutagène, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase), que l’on trouve dans diverses cellules normales ou pathologiques et dans les rétrovirus, susceptible d’induire dans l’ADN des cellules réceptrices des séquences nucléotidiques non désirables, et capable de modifier les gènes en multipliant ainsi considérablement les maladies génétiques et autres aberrations chromosomiques chez les vaccinés et leur descendance. (Mirko Beljanski était certain qu’il en contenait mais n’est jamais parvenu à le faire admettre).

 

Les deux vaccins contre les Papillomavirus sont des OGM.

Le Gardasil® contient 225 µg d’aluminium, ainsi que du polysorbate 80 et du borate de soude, qui n’est plus utilisé dans les préparations médicinales car il est considéré comme un poison. Il est intéressant à savoir que des jeunes filles vaccinées avec le Gardasil® ont manifesté des symptômes similaires à ceux qui apparaissent en cas d’empoisonnement au borate de soude. Or, depuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques. Les emballages de ce produit doivent porter le logo à tête de mort avec les deux indications suivantes:

- R60 (peut altérer la fertilité)

- R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant).

Il paraît pour le moins imprudent d'utiliser un tel conservateur dans les vaccins contre les infections du col de l'utérus quand on sait qu'au cours des études cliniques préalables à la mise sur le marché, cinq femmes tombées enceintes 30 jours après leur vaccination ont eu des bébés anormaux  [avis du CTV et du CSHPF relatif à la vaccination contre les papillomavirus humains (séance du 9 mars 2007)].

Le Cervarix® contient 500 µg d’aluminium, mais comme si cette énorme dose était insuffisante, il contient aussi un autre adjuvant, l’AS04, composé de sels d’aluminium et de MPL (monophosphoryl lipid A), un immunostimulant qui joue un rôle important dans la persistance du taux d’anticorps après la vaccination mais avec un potentiel d'induction de maladies auto-immunes.

Quant aux protéines vaccinales de ces deux vaccins, le Gardasil® se limite à des cellules de levure de bière, alors que pour le Cervarix® on utilise les cellules d'un insecte, le Trichoplusia insecte ravageur dont la cible privilégiée est le chou, et un baculovirus comme vecteur qui risque de reprendre de virulence et de se combiner avec d'autres virus endogènes inoffensifs.

 

 Source : Dr Jean Pilette CONSTITUANTS DES VACCINS

 

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