L'Atelier de la mémoire de Sylvie Simon  (1927/2013)

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Révéler la désinformation et les mensonges en matière de santé et d'environnement et éveiller les consciences


Nos pharmacies sont encombrées de pilules qui ne servent à rien et peuvent même être mortelles

Publié par Didier Tarte sur 11 Octobre 2012, 07:20am

Catégories : #Société - Corruption - Dérives- Scandales Sanitaires

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Par  le Dr Didier Tarte

 

Nos pharmacies sont encombrées de pilules qui ne servent à rien et peuvent même être mortelles. Dans un livre de 900 pages, les professeurs de médecine Philippe Even et Bernard Debré passent au crible 4 000 médicaments.

Le résultat est accablant : 50 % d’entre eux sont inutiles, 20 % présentent des risques et 5% sont même « potentiellement très dangereux » ! Ainsi, les médicaments utilisés en psychiatrie et neurologie, certains anti-inflammatoires, les antidiabétiques mis sur le marché depuis dix ans, les expectorants, veinotoniques, antitussifs ou encore les dilatateurs artériels destinés à oxygéner le cœur et le cerveau et qui n’ont absolument pas la moindre efficacité mais qui sont dangereux.

Le constat est édifiant, mais le Dr Didier Tarte fait remarquer, fort judicieusement, que leur effort de discernement s’arrête aux vaccins :

« Toujours l’espace tabou des vaccins.

« Et sans doute cela aurait été beaucoup trop de constater que leurs critiques pourraient exactement s’étendre à la pratique vaccinale. D’autant plus que la démarche vaccinale a inauguré la méthode d’influence et de manipulation (exactement comme ils le dénoncent en page 2) dans la pratique médicale. Tout simplement parce que les vaccins ont inauguré les premiers pas de l’industrialisation de la pharmacie associés au lobbying avec l’État.

 

« Enfin et surtout s’ils dénoncent les dangers des médicaments, ils semblent méconnaître totalement la part des vaccins dans l’émergence et la progression des maladies chroniques, auto-immunes et dégénératives (qui justement devient le pain béni pour tous ces nouveaux médicaments qu’ils dénoncent).

 

 « En fait nous sommes devant une situation de rupture, car la médecine se trouve dans une impasse. L’impasse biochimique. Elle essaye de trouver les molécules intervenant au niveau de l’ADN pour y contrôler les perturbations. Or ce niveau est régi par une influence d’un autre type d’ordre électromagnétique. L’ADN participe à deux niveaux de réalité : biochimique et électromagnétique.  Il est justement très intéressant de voir apparaitre cet espace biophysique dans la structuration du vivant au niveau cellulaire. Or depuis quarante ans maintenant la physique quantique a exploré et déterminé les mécanismes de cet interface au niveau de l’ADN (travaux de Popp, Gurwitsch, Driesch, Burr, Gariaev – voir le site wavegenetic.ru). Cet espace biophysique est régi par des principes d’information lumineuse à base  de photons.

 

« Ici nous devons souligner une convergence cohérente de notre société. La révolution d’internet a montré comment l’ensemble des activités humaines (information, transport, stockage, vente ….) est maintenant surveillé, régit, organisé et contrôlé par des dispositifs électromagnétiques. Or cette situation n’est qu’une forme de transposition d’un mécanisme actif dans les espaces biologiques complexes qui utilisent les mêmes possibilités de transfert d’informations instantanées contrôlant et entraînant les réactions biochimiques (complémentarité onde-particule).

 

« Une révolution qui peine à s’inscrire dans la compréhension du monde médical en retard de quarante ans sur ces découvertes fondamentales. Une telle révolution serait capable aussi de réhabiliter des pratiques médicales déconsidérées par les milieux officiels  comme l’acupuncture, l’homéopathie, la chromatothérapie. Mais bien plus encore cela permettrait de comprendre la réalité d’une interface entre le corps et l’âme (mot là aussi tabou en médecine) et d’expliquer les mécanismes des NDE (Near death experiences) et leur conséquence.

 

« Nous pouvons alors mieux comprendre comment cette révolution de la connaissance peine à émerger dans le monde médical, un des espaces scientifiques les plus conservateurs (on n’ose pas dire réactionnaire !), qui serait ainsi profondément transformée pour s’adapter à la complexité du vivant à cheval sur des espaces physiques et biochimiques. Le progrès indispensable pour ouvrir enfin le mystère du vivant.  Une révolution et un développement indispensable pour ouvrir la réconciliation entre l’homme et son environnement. Cette nouvelle façon de voir redonnerait à l’être humain un espace de liberté à même de mieux comprendre les mécanismes d’énergie et de conscience qui le parcourent en harmonie totale avec ceux de son environnement.

 

« Une révolution encore plus grande que celle qui s'est présentée en médecine avec la révolution anatomo pathologique associés à tous ces grands noms de la médecine moderne Bichat, Laennec, (mais en science aussi) et au début de la révolution industrielle. Une révolution en phase avec la révolution sociale et politique de cette époque qui inaugura la révolution industrielle dont nous vivons l'actuelle impasse. »

 

Dr Didier Tarte

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